Une fabrique de communs

Suite à la déclaration du Président de la République, hier soir, je me pose la question : « C’est quoi, être sereinement en guerre, pour Une fabrique de communs ?« 
Le défi étant d’expliquer comment nous ne sommes pas des faux-sachants diffuseurs de canulars morbides.

En bref …
En 1981, je suis « futurologue » chez Alcatel et j’écris un article sur ce que sera l’Internet 15 ans plus tard.
En 1986, des étudiants me demandent d’écrire un bouquin ; dans ma tête il y a ce que l’on nommera les « communs intellectuels » ; je crée une association qui deviendra Une fabrique de communs.
A partir de 1998, je peux me consacrer quasiment à 100% à la fabrique de communs – en particulier grâce aux donateurs qui soutiennent la Fabrique.
Dans une thèse – 2005 – j’explore les dynamiques qui sont en train de s’expérimenter avec WikiPédia.
Je suis contributeur à WikiPédia mais j’y trouve une résistance à la publication des travaux académiques « de demain ».
Je suis de l’aventure Knol.
Quand Google arrête l’expérience, mes articles sont « versés » sur WordPress que je découvre.
Dans son rapport 2019, Une fabrique de commun compte 1239 documents textes en ligne, autant de photos, de schémas didactiques, d’audio et de vidéos.
De temps en temps nous apportons des éléments aux différents projets de la fondation WikiMédia.
Chaque 20 seconde, un internaute accède à un document créé par Une fabrique de communs ou co-produit.

Les chantiers pour la santé – virus, bactéries multirésistantes, cancer, malaise psy, prennent de l’importance dans notre activité (plus de 300 articles)

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